Il n'y a pas lieu d'administrer d'emblée, à titre préventif, des correcteurs anticholinergiques lors de la mise en route d'un traitement neuroleptique, sauf chez les malades à risques (personnes âgées, antécédents de syndrome parkinsonien... ).
Il n'y a pas lieu, du fait des dangers potentiels (augmentation du risque
des effets secondaires atropiniques), d'associer deux correcteurs
anticholinergiques.
Il n'y a pas lieu, dans le traitement d'entretien de la psychose, d'associer
deux neuroleptiques, même s'ils sont à polarité distincte, sauf si leur
prescription est argumentée et périodiquement réévaluée.
Dernière mise à jour : vendredi 16 avril 1999 14:54:39
Dr Jean-Michel Thurin
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