Réunion du Comité dInterface du 3 janvier 1996
Compte-rendu
J.P. Olié - perplexité de lopacité dune administration.
Le fonctionnement des C.I.
Le C.I. émet des voeux, envoie des messages.
- dans la commission des CI : un certain nombre de CRI concernait la psychiatrie.
Un CRI avait été considéré comme étant dans la course
Par rapport au CRI, Evrard Robe??? a été voir le président de la commission 6.
12 CRI retenus - CRI Evrard 13ème ; CRI Psychiatrie (15 ?? 22°)
Le Directeur Général de lINSERM a informé que 5 ou 6 projets ont été transmis à la Fondation de France dont en 1er lieu le projet Evrard.
LINSERM a t-il une position ?
JC. Scotto - référence à la " prime à la mobilité ". On comprend mal quil nait pas été possible de faire passer ce message.
Si on répond quil ny a que des critères scientifique, on veut bien mais sinon
JM Thurin - la demande a été transmise au Directeur Général qui a dit que les CRI étaient particulièrement conçus pour favoriser la mise en place de structures en psychiatrie.
C. Kordon - Il semble que le projet a été très bien défendu. Le conseil scientifique na pas pu vraiment intervenir, le Directeur Général est très légalisme. Classement Evrard, Loo.
Intérêt au niveau de la coopération cliniciens-chercheurs. Créer une ??? en essayant de regrouper la pédo-psychiatrie clinique locale et
JP Olié - Léquipe de pédopsychiatrie locale est plutôt inquiète.
C.K - à sa connaissance, les projets Evrard et Loo ont été tous les deux présentés en priorité par la Fondation de France.
JC. Scotto - la recherche clinique ne sidentifie pas aux projets de neurosciences.
C.K. - La Fondation de France a souhaité marquer son intérêt pour les neurosciences. Propose de donner dici une semaine létat de la question.
JP. O. - les 2 fois où le Directeur Général est intervenu dans la commission 6, il a marqué son intérêt pour la recherche clinique. Possibilité darticulation avec les programmes de la D.H.
Quelle est la capacité dune position volontaire dans ce domaine ?
JM Thurin - Schizophr
Dialogue
CK - Il existe des conflits réels avec des ???, une mentalité relativement dogmatique en neurosciences avec des écoles qui se rejettent lune lautre. Le problème le plus important est comment être efficace, cest-à-dire de faire jour au CI, le rôle de lobbies, en tant que groupe qui peut équilibrer.
Etablir une liste en priorité.
JP O. - avoir des contacts au niveau scientifique est-ce que lon peut faire ce type de démarche sil ny a pas une volonté de lINSERM ?
Problème de Quemada
livre.
CK - Pour lUnité de Danion.
Pour lunité de Quémada, na jamais présenté de demande de création dunité ou du CJF.
Ph. Jeammet - les critères retenus font quelle nest pas considérée comme scientifique, au sens innovateur.
Tout ce qui est de lordre de lapplication, ce nest plus de notre domaine.
JC. Scotto - La recherche épidémiologique est tout a fait essentielle. Recherche didentification en matière de ??? de recherche et de prévention.
CK - Parmi les propositions faites à N.Q., rejoindre unité de recherche dépidémiologie.
J.P. O. - Ph. Jeammet sentiment que ce qui a pu être fait dans la commission a été infime.
Ce que nous ne pouvons pas transformer cest quil y ait une volonté politique ou non. Linterroger sur la stratégie quil entend prendre.
Ph. J. - critères de jugement scientifique : publication anglo-saxonne. Le problème de fond est quon ne publie que dans un certain sens au niveau des journaux. Dire les 2-3 points où il faut.
JP. O. - Problème de Danion qui na dans son unité quun chercheur statutaire INSERM au lieu de 2 ou 3. Mesure dérogatoire sur un an. Ou bien il recrute un chercheur " pour le principe "..
Ph. J. - Est-ce quil ne faut pas quil y ait une concentration defforts.
CK - Le problème de la recherche clinique est très difficile. Elle peut être génératrice de concepts de façon générale, ce qui a été fait cest de favoriser la recherche innovante. En cardio, ??? cet effort a été payant, il y a une crise mondiale de la recherche. Le système américain sadapte, le notre est plus fragile.
Le rôle de lAP meilleurs pôles de soin.
Rôle de lINSERM dans ces pôles, sélectionner des lieux de recherche.
Au sujet des publications étrangères, le DG a souvent tenu un discours très dur sur linadéquation des critères de publication par rapport à la valeur propre de larticle.
Toute une série de scientifique se préoccupent de cette question.
1er temps - structurer les publications ;
2ème temps - renforcer impact de ???
Présenter les CRI ; ensuite aller voir les commissions pour présenter.
JP.O. - sur lhistoire de 2 ou 3 projets, voir ??? ne puisse pas être retourné un argument scientifique.
- dune part donner des indications générales pour les Intercommissions ;
- dautre part, appuyer laccueil de 1 ou 2 CRI.
Le lobbing doit inclure lexplication de texte.
Le CRI prend la suite dun réseau.
Ph. J. - dans le projet, on doit faire la preuve dautres demandes de financement.
Priorités de recherche dans les Intercommissions.
Une commission ne sait pas très bien ce quest un peu marginal.
On a besoin dautres volontaristes. Nous devrions désigner un chef de projet. Dans tel domaine, capacité de définir un projet de recherche, trouver un responsable de projet.
??
Soit financement intercommission ; soit affichage sur une opération.
- Conduites de ??
investigation clinique : méthode et stratégie diagnostiques.
Analyse et évaluation.
Facteurs de vul??? et de risque
Classification.
2-3 axes
Dans ces axes là, il y a peut-être une opération.
Psychiatre périnatal
Autisme inf. et psychose de lenfant.
Facteurs de vulnérabilité.
Troubles moyens du comportement chez lenfant.
Adolescents à risque - conduites daddiction et violence.
Dépression chez le pré-adolescent et ladolescent.
Schizophrénie chez ladulte.
Evaluation, incluant les question de critériologie.