Il faut
répéter le rôle essentiel de la formation.
Le
travail en réseau suppose que les différents professionnels de
chacune des filières (infirmiers, médecins, psychologues,
éducateurs spécialisés, assistants de service social,
enseignants...) se connaissent, apprennent à travailler ensemble,
coordonnent leur action autour de projets communs. Il en est de même avec
les bénévoles qui contribuent à certaines initiatives.
Cela
va de pair avec la nécessité de former des professionnels aptes
à saisir les mutations en cours, à intervenir dans des
dispositifs sociaux nouveaux, à faire évoluer les pratiques. Il
importe donc d'aider à la construction d'un langage commun et à
la mise en synergie des savoirs, des expériences.
La transférabilité des compétences d’un
secteur à un autre implique également de réfléchir
aux ajustements nécessaires et possibles entre les pratiques. De ce point de vue, une organisation modulaire des
formations qualifiantes, avec des troncs communs, mériterait d'être mise en chantier de
manière plus active : à la fois par des collaborations pour les
formations initiales entre les facultés de médecine d’une
part, les centres de formations sociales et éducatives d’autre
part. Des actions de formation continue pluri-professionnelles, comme cela se
fait dans certaines régions pour l’application de la loi de lutte
contre les exclusions sont des exemples à développer.
Ce
chantier concerne non seulement les professionnels de la psychiatrie et de
l'action sociale, mais aussi ceux de la médecine générale,
de la justice, de la jeunesse et des sports, de l'Education nationale...
A l’inverse des inquiétudes exprimées par les
professionnels de la psychiatrie et, de manière symétrique, par
le secteur médico-social, on a vu se développer la crainte des
effets non maîtrisables d’une
immigration institutionnelle de malades mentaux venant des intrusions du
monde hospitalier (avec la crainte de devoir passer sous le contrôle de
l’Agence Régionale de l’Hospitalisation). Ceci
d’autant que la psychiatrie a une très mauvaise image de marque.
Plus
immédiatement, les frictions sont souvent fortes dans les institutions
sociales et médico-sociales autour de la question du soin. Des
témoignages en font la démonstration à propos d’un
institut médico-éducatif : les conflits de pouvoir entre le
personnel éducatif, le directeur et les psychiatres montrent bien, s'il
en était besoin, les méfaits des replis sur les identités
professionnelles de chacun[1].
Cette double
inquiétude en miroir est fondée sur une méconnaissance
réciproque très grave et tout à fait dommageable aux
enfants, adolescents et adultes qui ont à la fois besoin de soins et d’un
accompagnement éducatif et social. La réalité de chacun de ces deux mondes a heureusement
beaucoup évolué. Encore faut-il que chaque camp accepte de
découvrir l’autre, ce qui est la moindre des choses quand on
s’occupe de personnes en difficulté... Dans certains cas les
rencontres se développent rappelant ainsi, dans le quotidien,
qu’il vaut mieux penser les modalités d’une prise en charge
à partir de la personne dans sa globalité, plutôt que de
procéder à l'inverse, en partant des clivages institutionnels.
Les leçons
commencent a être tirées par la Protection judiciaire de la
jeunesse et par les instituts de rééducation, en première
ligne avec des populations « impossibles ». Le Samu
social et le Réseau national souffrance psychique et
précarité (RNSPP) aussi.
Mais
le phénomène le plus intéressant est le mouvement de fond
qui traverse toutes les structures, à savoir la recherche de
partenariats formalisés par des conventions, de mises en réseau
entre des équipes de secteur psychiatrique et des institutions sociales
(CHRS notamment) et médico-sociales (IME, CAT, foyers, MAS...). Certes, l’évolution des
pratiques ne se résume pas à la signature de conventions. Le
travail en réseau suppose que les différents professionnels de
chacune des filières (infirmiers, médecins, psychologues,
éducateurs spécialisés, assistants de service social,
enseignants, directions...) se connaissent, apprennent à travailler
ensemble, coordonnent leur action autour de projets communs. S’il faut un
cadre réglementaire pour pérenniser les collaborations et
dépasser les seules empathies entre différents intervenants, il
importe surtout que soit pensée la question de la coordination des
actions, que les niveaux de travail en commun soient parlés et sans cesse
interrogés, que la rencontre soit aussi celle de cultures
différentes, donc que des formations transversales soient mises en
place.
Les champs social et
médico-social doivent prendre leur responsabilité pour le volet
social de la trajectoire de ces personnes et les professionnels de la
psychiatrie doivent, après élaboration de projets de soin
personnalisés, passer progressivement la main aux acteurs sociaux, et ce
de plus en plus complètement pour la plupart des personnes.
Cela
suppose que l’on cesse parfois de considérer qu’une personne
présentant des troubles mentaux est totalement identifiée
à ces troubles. Un « psychotique », par
exemple, est une personne présentant des troubles mentaux de la
série psychotique, de même une personne
« diabétique » ne peut se réduire à
ses troubles insuliniques ou Beethoven à sa surdité.
Cela suppose que
l’on cesse de penser a priori l’avenir des personnes et que, au
contraire, on leurs permette d’élaborer, avec notre aide, des
projets de vie « sans tabou ni exclusive ». La psychose,
par exemple, est aussi une potentialité de l’être humain, un
mode d’être au monde. Beaucoup de patients
« résistent » à la réinsertion par
le travail. L’insertion
n’est pas que dans le travail mais aussi par la possibilité de
trouver une place dans la société.
Cela
doit permettre aux personnes concernées par l’accession à
l’autonomie maximale possible, d’utiliser leur dynamisme propre
avec l’objectif de passer d’un système d’assistance
à un système favorisant l’autonomie, sans négliger
un possible partenariat à travers des aides personnalisées. Les
bénéfices qu’elles en tirent sont le plus souvent
surprenants, même si l’on veut n’en rester qu’à
une évaluation strictement sanitaire.
§
Passer d’une
prise en charge financière à la structure à une prise en
charge financière à la personne qu’il s’agit de solvabiliser.
§
Des actions
plurisectorielles devront être
organisées au niveau du territoire pertinent ou bassin de santé
(RTSM) et la coordination devra être faite aux niveaux départemental
et régional. Le soin et l’insertion doivent être
organisé au niveau du bassin de santé ou territoire pertinent.
§
Un dispositif qui
vise à créer un « guichet unique [2]» en associant un « pilote »
pour faciliter les démarches de la personne en situation de handicap, le
tout financé par l’Etat, paraît une initiative très
intéressante si du moins les usagers de la santé mentale y ont
accès, d'où l'intérêt de la notion de handicap psychique.
§
Il est indispensable
de faire évoluer la réglementation sanitaire et sociale la situation actuelle étant souvent
kafkaïenne pour les adolescents et les jeunes adultes. La
pédopsychiatrie prend en charge jusqu’à 16 ans et la
majorité est à 18 ans. La C.D.E.S traite les dossiers jusqu’à
20 ans et le RMI n’est possible qu’à partir de 25 ans.
Quel minimum garanti de ressources pour un jeune de 20 ans qui ne relève
pas de l’AAH et qui est en rupture familiale ? En l’état
actuel des CLI, et des CJM, tous n’en bénéficient pas, loin
s’en faut.
§
Il ne peut suffire
de compter sur les initiatives et la bonne volonté de tels ou tels. Leur participation dans les RTSM
(évoqués plus haut), dans les instances départementales et
régionales (par exemple dans les ARS comme le sujet est actuellement en
débat), leurs responsabilités respectives, doivent être
précisées.
§
Il est essentiel
d’appliquer l’obligation d’embauche de 6% de travailleurs
handicapés pour
l’intégration des personnes dans les entreprises publiques et
privées. Plutôt
qu’un forfait, en cas de manquement à cette obligation, un
système progressif d’amendes dissuasives serait certainement plus
incitatif. Il faut, là aussi, prévoir de vrais mécanismes
d’accompagnement du travailleur et de son employeur, afin que la charge
ne paraisse pas trop lourde, et surtout sans fin, à ce dernier ! Il
serait certainement judicieux de lui garantir une période d’essai
prolongée et un « contrat »
régulièrement actualisé, précisant les obligations
et les droits de chacune des parties.
§
Apprendre à
« passer la main » aux professionnels du champ
médico-social.
Il y a, dans les unités
d’hospitalisation de chaque secteurs, nombre de personnes dont la
pathologie mentale ne nécessite plus uniquement des soins mais
également une prise en charge médico-sociale ou sociale qui ne
peut être apportée là où ils sont.
Pour ces personnes il faut envisager une admission
dans des structures médico-sociales ou sociales, de dimension humaine,
pour des populations non homogènes (existantes, comme les maisons des 2ème et 8ème
secteurs de psychiatrie de l’Essonne en partenariat avec l’APAJH
financées par l’Etat, la sécurité sociale et le
Conseil Général, ou à créer selon les
réalités locales, départementales et régionales)
où les soignants auront leur rôle, où les divers
professionnels du champ médico-social seront également actifs, de
manière coordonnée et complémentaire. Des allers et
retours doivent être envisageables sans que la personne perde de ce fait
le bénéfice de son inscription dans ces structures.
Certaines des structures médico-sociales
perdent, en ce moment, leur personnel soignant en psychiatrie, ce qui contribue
à augmenter la charge du service public, et laisse sans soin suffisant
des patients. Des positions divergentes s’expriment quant à la
place du soin dans ces établissements. Rappelons que 7000 psychiatres,
travaillant en moyenne 2 à 3 demi-journées par semaine, soit
environ 2000 équivalents temps plein, prennent en charge 100 000
personnes dans ces structures.
Le statut unique, la participation des psychiatres libéraux et
celle, dans le cadre des réseaux, des psychiatres et autres
professionnels publics, serait l’une des réponses permettant la réorganisation
globale de l’offre de soin dans le champ médico-social.
§
Renoncer à la
gestion du médico-social par les établissements de santé.
L’article 51 de l’ordonnance n°
96-346 du 24 avril 1996 portant réforme de l'hospitalisation publique et
privée rend possible la création et la gestion par les
établissements de santé de services ou établissements
sociaux et médico-sociaux. Cette possibilité était
déjà ouverte par la loi du 18 janvier 1994, mais pour le seul
domaine de l'hébergement des personnes âgées.
C'est une manière, certes, de rapprocher les
deux secteurs et d’aider à la reconversion de structures
hospitalières. Des garanties ont été données pour
que les établissements sociaux ou médico-sociaux ainsi
créés et gérés par les hôpitaux
relèvent bien des procédures prévues par la loi n°
75-535 du 30 juin 1975, comme le précise une circulaire du 20
février 1997. Mais la
formule a l’inconvénient majeur de se situer dans une logique
inverse à celle de la mise en réseau. Elle maintient une
conception hospitalocentriste et évite d’avoir à traiter
avec les institutions environnantes, notamment avec le secteur associatif[3].
§
Favoriser
l’intégration dans le milieu ordinaire. Certaines personnes, bien entendu, devront toute leur
vie bénéficier de programmes plus ou moins importants de soins et
d’assistance et rester dans un milieu protégé. Toutes devraient pouvoir entrer ou essayer d’entrer
dans des processus d’insertion ou de soin qui mèneraient
potentiellement au milieu ordinaire (aussi bien sur le plan social, associatif
et culturel que professionnel). L’insertion par
l’économique, en vue de l’accès au travail en milieu
ordinaire, est ignorée sinon réfutée et refusée par
nombre de professionnels de la psychiatrie.
Serait nécessaire, dans ce domaine, la
création de fonctions, de type « thérapistes en
réhabilitation psycho-sociale » (Italie), intervenant en
santé mentale communautaire, la mise à disposition
d’ergothérapeutes et d’éducateurs techniques dans les
structures sociales qui accueillent les patients pour la remise à
l’emploi.
§
Le soutien des
pouvoirs publics, dans le cadre des RTSM, est indispensable au développement de structures
d’accès au travail en milieu ordinaire. Les financements des
entreprises d’insertion, comparables aux coopératives
créées à Trieste, devraient être revus,
diversifiés, augmentés et pérennisés.
§
Pour les enfants il
est souhaitable que la PMI poursuive son travail avec les enfants
jusqu’à la fin de l’école primaire et ensuite passe
le relais à l’Education Nationale qui, elle devrait prendre en compte beaucoup plus la
santé qu’elle ne le fait actuellement. A tous ces âges les
équipes de santé mentale (enfants et adultes) devraient
être partenaires.
§
Mise à
disposition de travailleurs sociaux et de soignants de santé mentale, en
équipes identifiées de santé mentale, dans
les circonscriptions sociales et autres structures sociales et
médico-sociales, par convention, qui, de ce fait, participeraient aux
actions de santé mentale. Un mouvement identique de la part des acteurs
du champ social est à organiser corrélativement. Nous devons
répondre aux demandes des travailleurs sociaux : soutiens de la part
des professionnels de la santé mentale, supervisions, échanges
sur les pratiques.
§
Revoir le dispositif
d’accès aux soins des personnes en situation d’exclusion. Le
réseau à faire fonctionner dans ce cas n’est pas, ,
« une enveloppe coercitive, une unité de surveillance.
C’est le résultat d’un travail de constitution de liens qui
favorisent la communication inter-institutionnelle et autorisent le sujet et
citoyen à s’éloigner de l’institution mère
pour s’autonomiser loin de son omnipotence nourricière. Ces
personnes ont besoin de psy, mais dans un cadre autre que celui qui leur
apparaît une caricature et ils n’ont pas toujours tort »[4].
Le fonctionnement de l'équipe
"Diogène" à Lille, est un exemple de ce que l'on peut organiser pour la grande
précarité en associant, sur un territoire pertinent, tous les
secteurs et toutes les institutions sociales d'aide aux précaires. Dans
les secteurs plus ruraux, où la misère est tout aussi
présente mais selon des expressions différentes, le travail en
réseau que fait l’équipe de psychiatrie de Dax est à
citer.
A l’opposé la précarité
à Paris, et dans la petite couronne, se présente avec des
caractéristiques démesurées qui nécessitent, pour l’accès
aux soins en santé mentale et pour lutter contre ce que certains
appellent « l’innomable » des conditions de
vie de ces personnes, un dispositif de grande ampleur. Le rejet de la part du
système sanitaire en général est un comportement
quotidien. La carence en solutions d’hébergement crée des
situations explosives. Il nous paraît complètement inadapté
la création récente d’un poste infirmier pour chacun des
CHS concernés soit environ 5 alors qu’il s’agirait
plutôt que les quelques 150 équipes de psychiatrie, de Paris et de
la petite couronne (adultes et infanto-juvénile), mettent chacune à disposition un
mi-temps infirmier pour ce travail dont la coordination serait à penser
au niveau intercommunal. L’ampleur du problème nécessite un
effort de cette ampleur.
La question reste cependant de l’insuffisance
des réponses sociales, et dans l’adaptabilité des
systèmes. A l’intérieur des dispositifs RMI le volet sanitaire est le maillon faible. Le
récent dispositif ASI (Accompagnement Social Individualisé), qui
veut apporter une prise en charge globale (sociale et sanitaire) pour une
personne pendant 6 mois, est peut-être un début de réponse
adaptée.
§
Conventionner un
nombre suffisant de logements sociaux avec
les organismes du logement social, les municipalités, les
préfectures (qui ont chacune un quota disponible en la matière).
Sur l’ensemble du territoire national les estimations disponibles
évaluent les besoins à environ 3000 logements par an pendant 5
à 10 ans.
§
Mettre en place une
commission nationale de lutte contre la stigmatisation des personnes qui ont des troubles mentaux.
C’est très important pour permettre d’actionner une
série de lois et d’orientations politiques
déspécifiées qui existent déjà. Elle
proposerait des campagnes médiatiques sur ce thème.
La santé mentale restera dans sa boîte
noire si elle ne dispose pas de processus de déstigmatisation
auprès du grand public, des élus, des corps constitués, de
la presse. C’est un énorme chantier, en jachère, car il
n’existe pas (comme au Canada et au Royaume Uni, par exemple)
d’organismes susceptibles de diffuser à la fois des informations
fiables sur les troubles psychiques et les ressources de l’offre mis
à disposition des citoyens. La santé mentale devrait être
l’un des thèmes permanents du CFES.
La lutte contre la stigmatisation passe par la
professionnalisation de la communication sur la santé mentale, vers le
grand public. Les difficultés pour la mettre en œuvre sont
connues : absence de « discours commun unitaire de
base » entre les professionnels et perception, par le grand public,
d’une cacophonie inaudible ; paresse, pour ne pas parler d’
insuffisance qui nécessiterait peut-être une formation
particulière sur la santé publique, chez de nombreux journalistes
qui associent, systématiquement et sans réflexion, violence et
« suivi en psychiatrie » ; incapacité des
professionnels à positiver les informations sur les soins laissant ainsi
la place vacante pour les messages publicitaires de l’industrie
pharmaceutique ; image floue des évolutions en cours et
déficit de débat sur les concepts de réseaux et les
articulations sanitaire et social ; absence de discours politique sur la
santé mentale depuis de longues années.
§
Développer le
conventionnement des réseaux
Puisque l’on a l’impression, confuse et
souvent fausse, que la psychiatrie sectorisée fonctionne
déjà en réseau, la création de réseaux entre
les champs sanitaires, médico-sociaux et sociaux conventionnés,
coordonnées, programmées et évaluées par les
tutelles et par les ARH au niveau
des territoires pertinents ou bassins de santé (RTSM), des départements
et des régions doit être explicitée et encouragée.
Nous rappelons que les secteurs ne doivent pas y être dominants.
Actuellement les conventions officiellement
signées par le champ psychiatrique sont très peu nombreuses sur
l’ensemble du territoire national.
Ces conventions doivent en premier lieu éviter
le risque de la reconstitution de « ghettos » pour les
plus faibles.
Elles doivent répondre aux besoins sociaux
diversifiés des personnes. Certains doivent pouvoir accéder, dans
des institutions ou à domicile, aux prestations (accompagnement, soins,
activités…) ouvertes à tous les handicapés sans
ségrégation. En fait, selon les besoins des personnes, les
orientations correspondent aux divers établissements listés dans
le chapitre II, section I, art. 9 du projet de loi portant réforme de
la loi de 1975, en insistant spécialement sur les
« appartements de coordination thérapeutique ».
Les conventions doivent précisément
établir les objectifs, les moyens mis à disposition par les
équipes professionnelles concernées, la durée de
fonctionnement, les responsabilités de chacun et enfin prévoir
régulièrement des évaluations quantitatives et
qualitatives des actions envisagées.
Les divers professionnels, participant à
l’action définie par la convention, doivent y être
nommément désignés ainsi que leur rôle et le temps
qu’ils doivent y consacrer.
Elles doivent aussi favoriser la mise en place
d’actions innovantes, expérimentales dont l’initiative peut
trouver son origine dans l’un ou l’autre champ mais toujours
fonctionner avec des partenariats clairement identifiés.
[1] Émilia M.-O Marty (« Les enfants de l’oubli », Dunod, 1997)
[2] actuellement en cours de mise en place par la DGAS
[3] « L’articulation du sanitaire et du social », Dunod, 2000, Marcel Jaeger
[4] selon le Dr M. Bon de Lyon
suite
Dernière mise à jour : jeudi 6 septembre 2001 17:11:34 Dr Jean-Michel Thurin |